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26 février 2020

L’affaire #Griveaux au service de l’imagination


La vie privée n’est plus privée dès lors qu’elle apparaît comme étant public.
Il fut un temps où la femme violée, battue, prostituée, asservie, faisait partie de la vie privée des hommes.

Ce qui est relaté est le fruit d’un imaginaire qui s’inspire de l’affaire Griveaux.
Toutefois, toute substitution du produit de l’imaginaire aux faits réels révélés par les évènements liés à l’affaire citée ne serait que pur produit d’un fantasme issu d’un esprit malveillant à l’endroit de l’auteur du présent essai ainsi que des acteurs du drame et des victimes se rapportant à l’affaire Griveaux.

En effectuant un rejoué du « C pour vous », émission for connue en France dans laquelle un célèbre avocat finit pat vouloir tout défendre et n’importe quoi de préférence, je me suis étonné du nombre de stupidités qu’il pouvait professer dès lors qu’il ne faisait pas face à un tribunal.

Des lettres de Guillaume Apollinaire à Lou qui pour avoir été conservées ont fini par tomber dans l’espace public, ce qui est généralement la destinée de tout document conservé que ce soit pour atterrir dans une bibliothèque ou une poubelle.
Nous ne pouvons retenir le court normal de toute propriété intellectuelle délivrée sur un support physique quelconque envoyé à un destinataire en devenant ainsi et de fait, hormis les droits d’auteur ou contrat commercial dûment établi préalablement comme celui qui unirait une maisons d’édition à ses écrivains, son entière propriété, le laissant libre selon sa morale et ses droits que lui confère la loi d’en disposer comme il lui semble. Il en est ainsi de par la dissociation des finitudes des œuvres et de son auteur lorsque ces premières finissent par survivre au second.

Dans certaines conditions d’acquisition de l’objet de transfert, il serait possible de parler de recel, mais dans l’histoire première qui inspire l’œuvre seconde ici présente, la propriété exercée par l’expéditeur semble être indiscutable et la légitimité du destinataire à la recevoir en tant que copropriétaire ou propriétaire conjoint, tout autant.
Le fait que l’expéditeur en soit venu à envoyer une vidéo incriminée dans l’histoire source comme dans celle présente qui en fut inspirée, au moyen d’un système automatique d’effacement de l’envoi qui, dans l’esprit et l’esprit seulement, a pour principe, en principe seulement, de pouvoir le protéger d’une saisie inopportune du regard, et donc la connaissance d’autrui, n’enlève rien au transfert de propriété par destination non commerciale au destinataire et ceci d’autant que l’image de celui-ci, le destinataire, est incluse dans l’objet transmis. Si ce moyen était utilisé dans l’intention que le destinataire ne posséderait pas les ressources suffisantes pour en réaliser la capture physique par un système d’enregistrement approprié, il nous serait alors loisible de considérer que cette présentation dans cette forme très transitoire n’aurait comme utilité que d’exercer une menace qui pour des raisons de rétorsion légales pourrait se retourner contre son auteur en cas de conservation par le destinataire. Ceci d’autant que s’il en était autrement, le destinataire avait tout loisir et tout intérêt à effacer par elle-même l’envoi pour ne conserver que sa copie sur un support qu’il jugerait plus approprié. Et donc l’utilisation d’un moyen transitoire ne serait plus justifiée d’autant qu’incidemment, la première personne à prendre connaissance de cette vidéo pourrait ne pas être le légitime destinataire puisque justement, le fait d’utiliser ce principe supposé dans limiter le nombre à un seul, mais alors qui au hasard des circonstances faut-il se demander?

Il s’ensuit donc que d’une part, le moyen utilisé et revendiqué, que d’autre part, qu’une plainte ayant été déposé par l’expéditeur contre le légitime destinataire en capacité d’en invoquer sa pleine propriété, il reste tout à fait logique d’en conclure que l’action mené n’avait que pour but d’exercer une menace portée à l’encontre du destinataire en excluant toute autre intention.

Différents éléments conduisent à considérer cette voie de réflexion comme viable dès lors que l’on apprend que d’autres vidéos mettent en scène différents partenaires de la destinataire, dont certains sont issus de l’environnement politique de l’imbécile expéditeur plutôt qu’imprudent.

Imbécilité de l’adulte qui n’a pas quitté sa stature de gamin de cours d’école qui possédant un appareil photo saisi l’image de tout ce qui bouge, surtout lorsque ce qui bouge est dénudé, pour pouvoir en faire part à ses petits camarades afin de s’assurer de son ascendance virile sur eux, alors qu’il n’a de fait que la prestance du nabot.

Ainsi pouvait-il faire l’éloge de sa victime en l’offrant en pâture à ses copains de la gente gouvernante en ayant comme assurance de sa bonne volonté le rappel si nécessaire de son pouvoir de nuisance qu’il avait sur elle. De la pure prostitution imposée par un maquereau qui n’était en fait que le crapaud qui se croyait plus fort que la vache qui sommeillait en lui !

Ainsi pouvait-il offrir à ses copains de cette nouvelle gouvernance les faveurs d’une victime qu’il prostituait par chantage de sorte que finalement, l’imaginant sans effort, il devenait possible d’offrir à un environnement politique corrompu les charmes d’une victime tout en recevant telles contreparties convenues plus ou moins troquer.

Mais voilà, le temps est passé et la victime de chantage prostitutionnel trouve un petit copain aux caractéristiques étranges ; un artiste politique en guerre contre le système de valeur qui a permis l’assujettissement pornographique de son aimée. Alors, le maître-chanteur se croyant assuré de ses privilèges, (n’est-il pas au gouvernement d’un grand pays ?) essaie à nouveau, encore et encore, à force d’envois de vidéo mais cela ne marche pas, ne marche plus. Se croyant plus malin que ne peut être la nature humaine, il renvoie et envoie encore ses vidéos menaçantes en auto-effaçables, mais cela ne prend toujours pas. Pire encore, le destinataire parvient à les enregistrer en se disant qu’ainsi le chantage pourra cesser et que chantage pour chantage, il possède maintenant le moyen de le faire cesser celui qui est exercé contre lui. Il a le moyen de faire en sorte de cesser d’être importuné par le malfrat de la République !

Un immigré reconnu peut-être trop rapidement comme tel par les instances en charge de l’immigration devient le compagnon de l’être tyrannisé, prostitué par un ponte de la majorité en marche qui ne recule devant rien tant il est certain que son intelligence brille au-dessus du flot de la merde dont il est le producteur !
Sa victime est tombé amoureux de cet homme, ce guignol comme le qualifie l’apathique journaliste et le trop certain avocat des causes autant douteuses que grandioses, il faut bien que l’indéfendable soit défendu surtout si ce dernier est porteur de symboles et de « médiaticité » !

Le vilain gamin des cours d’école est vaincu par un simple réfugié politique qui s’est retourné contre lui, lui qui avait facilité de favoriser… Enfin, mon esprit s’avance un peu trop.

Il n’a pas de secret pour son ami, le révolté des systèmes d’oppression dont l’esprit se nourrit d’une stratégie pour dézinguer le malfrat qui exige la protection de sa vie privée en violant celle des autres !

Et puisqu’il en fait un chantage se dit-il, déchantons-le en produisant cette fameuse vidéo !

Le destinataire n’est-il pas le propriétaire légitime de l’œuvre qui lui a été envoyé ?
Les imbéciles criant au scandale n’ont plus qu’à se taire pour aller se cacher, vautré dans leurs illusions luxuriantes. Le plaignant n’était en fait qu’un salaud !

Ainsi vont les choses en ce bas monde. Les faibles sont montrés du doigt, désigné comme lie de la société alors que les malfrats de la haute fracture sociale sont défendus par les outrés aveugles qui ne peuvent vouloir voir la corruption dans leurs rangs !
Mais heureusement pour eux, ceci n’est qu’une histoire inspirée par des évènements qui s’apparente dans la réalité à une réalité. La justice dira… Enfin, elle dira ce qui a troublé l’ordre public puisque comme l’affirmait une femme magistrat dans une toute aussi célèbre émission, seul l’ordre public est de nature à faire bouger la justice.
Quant à la vérité… Elle est de la blancheur de ceux qui pensent que blanchir la noirceur est humainement contre-nature.

Jean Pierre Bouvier le 26/02/2020, qui imagine ses petites-filles dans les mains d’un tel individu !

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